Minuit 2, de Stephen King<\/div>

Un livre int\u00e9ressant pour les gens appr\u00e9ciant les longues nouvelles. Ce ne sont probablement pas les meilleures histoires du King, mais elles sont bien distrayantes.<\/div><\/div>

La compr\u00e9hension\/complexit\u00e9<\/span>8.5<\/span><\/span><\/span><\/div>

Les personnages<\/span>8.6<\/span><\/span><\/span><\/div>

Le genre et les th\u00e8mes<\/span>8<\/span><\/span><\/span><\/div>

L\u2019intrigue, le suspense<\/span>7.2<\/span><\/span><\/span><\/div>

L\u2019originalit\u00e9 du r\u00e9cit<\/span>8.5<\/span><\/span><\/span><\/div>

Les points forts<\/div>

L'originalit\u00e9 des nouvelles<\/li>
Les personnages attachants<\/li>
Le style simple et fluide<\/li><\/ul><\/div>
Les points faibles<\/div>
- Des d\u00e9nouements pr\u00e9visibles<\/li>
- L'horreur est absente<\/li><\/ul><\/div>2016-04-12<\/time>
  8.2<\/span>Note finale<\/span><\/div>
  Note des lecteurs: (2<\/span> Votes)<\/span>
  6.1<\/div><\/span><\/span><\/div><\/div><\/div>
  En 1990, le ma\u00eetre de l’horreur a publi\u00e9 un recueil de quatre novellas (des romans courts) nomm\u00e9 Four Past Midnight<\/strong><\/em>. Ce livre, disponible uniquement en anglais, a remport\u00e9 le prestigieux prix Bram Stoker<\/em> pour le meilleur recueil de nouvelles de cette ann\u00e9e-l\u00e0. En fran\u00e7ais, ce livre fut publi\u00e9 en deux ouvrages distincts, soit Minuit 2<\/strong><\/a> (celui pr\u00e9sent\u00e9 sur la photo et que nous verrons sur cette page) et Minuit 4<\/a><\/strong>. Il fut publi\u00e9 dans la langue de Moli\u00e8re par la maison d’\u00e9dition Albin Michel<\/em> en septembre 1991, mais celui qui est pr\u00e9sent\u00e9 sur la photo est la version publi\u00e9e par Livre de poche<\/em> en juin 2006. L’ouvrage fut traduit de l’anglais par William Olivier Desmond.<\/p>\n
  <\/p>\n
  Les deux romans courts qui sont donc disponibles dans cette \u00e9dition sont Les Langoliers<\/strong><\/a> et Vue imprenable sur jardin secret<\/strong><\/a>. Jetons un coup d’oeil \u00e0 la description pr\u00e9sent\u00e9 sur la quatri\u00e8me de couverture:<\/p>\n
  <\/p>\n
  \n
  Vous \u00eates-vous d\u00e9j\u00e0 demand\u00e9 ce qui se passait apr\u00e8s minuit ? Tout bascule. Le temps se courbe, s’\u00e9tire, se replie ou se brise en emportant parfois un morceau de r\u00e9el. Et qu’arrive-t-il \u00e0 celui qui regarde, les yeux \u00e9carquill\u00e9s, la vitre entre r\u00e9el et irr\u00e9el juste avant qu’elle explose et que des aiguilles de verre se mettent \u00e0 voler en tous sens ? Les cauchemars de Stephen King vous emp\u00eacheront longtemps de dormir juste apr\u00e8s minuit.<\/strong><\/em><\/p>\n
  Minuit 1 : L’heure o\u00f9 un avion peut atterrir dans le n\u00e9ant, le monde des Langoliers.<\/strong><\/em><\/p>\n
  Minuit 2 : L’heure o\u00f9 un \u00e9crivain peut rencontrer son double, dans un jardin tr\u00e8s secret d’o\u00f9 l’on ne revient pas.<\/strong><\/em><\/p>\n
  Apr\u00e8s minuit, c’est toujours l’heure de Stephen King.<\/strong><\/em><\/p>\n
  \n<\/blockquote>\n
  <\/p>\n
  D\u00e9tails techniques:
  \nMass Market Paperback: 599 pages
  \n\u00c9diteur: LIVREPOCHE (1 mai 2006)
  \nLangue: French
  \nISBN-10: 2253151572
  \nISBN-13: 978-2253151579<\/p>\n
  <\/p>\n
  Les Langoliers<\/strong><\/h2>\n<\/a><\/p>\n
  Premi\u00e8re histoire de la s\u00e9rie tir\u00e9e de Four Past Midnight,<\/em><\/strong> Les Langoliers<\/strong> a \u00e9t\u00e9 nomm\u00e9 en 1991 au prix Bram Stoker<\/em> de la meilleure nouvelle longue.<\/p>\n
  Un petit r\u00e9sum\u00e9:<\/strong><\/p>\n
  Au cours d’un vol surnomm\u00e9 \u00ab\u00a0le vol des yeux rouges\u00a0\u00bb, qui relie Los Angeles et Boston, les passagers du vol disparaissent soudainement. Seuls leurs v\u00eatements et les objets qu’ils portaient sur eux (ou \u00e0 l’int\u00e9rieur de leurs corps) restent dans l’avion. Dix passagers, qui dormaient lorsque cet \u00e9trange \u00e9v\u00e8nement survint, sont toujours dans l’appareil et tentent de comprendre cette \u00e9trange situation. Heureusement pour eux, Brian Engle, un pilote d’avion qui vient tout juste d’apprendre la mort de son ex-femme, \u00e9tait \u00e9galement sur le voyage et put rediriger l’avion vers Bangor, dans le Maine (les habitu\u00e9s de Stephen King connaissent bien cette ville qui est r\u00e9guli\u00e8rement au coeur de l’action de ses romans). Cependant, l’a\u00e9roport est d\u00e9sert, ce qui rend les circonstances encore plus \u00e9tranges.<\/p>\n
  L’un d’eux, probablement le plus parano du groupe, pr\u00e9vient les autres de l’approche des Langoliers, de ces cr\u00e9atures mena\u00e7antes qui d\u00e9vorent le pass\u00e9. Je n’en dis pas plus, parce que si vous n’avez pas lu cette histoire, vous en savez d\u00e9j\u00e0 beaucoup trop.<\/p>\n
  Mon point de vue:<\/strong><\/p>\n
  Cette premi\u00e8re nouvelle est particuli\u00e8rement captivante d\u00e8s les premi\u00e8res lignes. Fid\u00e8le \u00e0 lui-m\u00eame, Stephen King<\/a> nous entra\u00eene de force dans une s\u00e9rie d’\u00e9v\u00e8nements perturbants et le lecteur se laisse guid\u00e9 sans trop savoir o\u00f9 il va, partageant la d\u00e9tresse et l’incompr\u00e9hension des passagers du \u00ab\u00a0vol aux yeux rouges\u00a0\u00bb. C’est une histoire tr\u00e8s bien \u00e9crite et particuli\u00e8rement divertissante, qui nous fait vivre plusieurs types d’\u00e9motions \u00e0 travers des diff\u00e9rents personnages.<\/p>\n
  Cela \u00e9tant dit, je dois avouer que ce n’est pas l’une de mes pr\u00e9f\u00e9r\u00e9es; j’ai quelques reproches. Premi\u00e8rement, le jeu des personnages est un peu simpliste. Parmi eux se trouve un \u00e9crivain (il y a tr\u00e8s souvent des \u00e9crivains dans les romans de Stephen King) et il d\u00e9noue l’intrigue \u2014 ou plut\u00f4t, les intrigues \u2014 avec une aisance un peu surr\u00e9elle. Devant la situation incompr\u00e9hensible que vivent les passagers du vol 29, il r\u00e9ussit d’une main de ma\u00eetre \u00e0 trouver les solutions, et je dois avouer que j’ai trouv\u00e9 cela un peu barbant. Bien que le personnage de la petite aveugle soit attachant et que le pilote Brian Engle est vibrant de r\u00e9alisme, les autres personnages sont tr\u00e8s caricaturaux. Je pense particuli\u00e8rement au personnage de Nick Hopewell, un agent secret ninja qui prend les choses en main d\u00e8s le deuxi\u00e8me chapitre de l’histoire.<\/p>\n
  Quoi qu’il en soit, on retrouve ce passage sur Wikip\u00e9dia qui repr\u00e9sente bien \u00e0 quel point les opinions sur cette histoire peut \u00eatre partag\u00e9:<\/p>\n
  <\/p>\n
  \n
  Le r\u00e9cit (Les Langoliers) a \u00e9t\u00e9 consid\u00e9r\u00e9 par la critique de l’\u00e9poque comme le meilleur du recueil de quatre histoires dont il fait partie. Pour Michael R. Collings, King se montre \u00ab au sommet de sa forme \u00bb dans cette \u00ab histoire typique de la Quatri\u00e8me Dimension \u00bb o\u00f9 les \u00ab visions d’un monde qui perd sa solidit\u00e9, o\u00f9 la mati\u00e8re s’use litt\u00e9ralement, et celle du n\u00e9ant que repr\u00e9sentent les Langoliers restent longtemps dans l’esprit du lecteur \u00bb. Stephen Spignesi la consid\u00e8re \u00e0 l’inverse comme la moins efficace des quatre histoires de Minuit.<\/p>\n<\/blockquote>\n
  <\/p>\n
  De mon point de vue personnel, je consid\u00e8re que c’est peut-\u00eatre la moins bonne des quatre histoires de Four Past Midnight<\/em>. La mise en sc\u00e8ne est vraiment divertissante, mais plus que l’histoire avan\u00e7ait, plus je d\u00e9crochais de cette magie qui m’avait captiv\u00e9 au cours des premiers chapitres. Je trouve m\u00eame que la fin est plut\u00f4t facile, voire d\u00e9sint\u00e9ressante. Je dois avouer que j’ai les derni\u00e8res pages m’ont parut lourdes, un peu longues. Mais ce n’est que mon opinion, je m’attendais sans doute \u00e0 un plot twist \u00e9tonnant ou que tous les protagonistes s’\u00e9teignent les uns apr\u00e8s les autres en essayant de se tirer cette \u00e9tonnante situation.<\/p>\n
  <\/p>\n
  Vue imprenable sur jardin secret<\/strong><\/h2>\n<\/a><\/p>\n
  Selon Stephen King<\/a> lui-m\u00eame, l’id\u00e9e de cette nouvelle lui est venue alors qu’il faisait du r\u00e9am\u00e9nagement chez lui. C’est en d\u00e9pla\u00e7ant un meuble qu’il s’aper\u00e7ut, en regardant par la fen\u00eatre, son propre jardin sous un angle compl\u00e8tement diff\u00e9rent. Certains pr\u00e9tendent que l’inspiration de cette nouvelle serait venue des accusations de plagiat qui ont \u00e9t\u00e9 port\u00e9es contre King. Quelques uns se rappelleront peut-\u00eatre qu’une certaine Anne Hiltner, une femme habitant Princeton, avait poursuivi Stephen King pour plagiat en affirmant que ce dernier \u00e9tait entr\u00e9 par infraction chez elle. Selon ses dires, elle aurait \u00e9crit le best-seller \u00ab\u00a0Misery<\/em>\u00a0\u00bb que King lui aurait d\u00e9rob\u00e9 quelque part entre 1986 et 1987. Elle affirmait qu’il lui aurait vol\u00e9 huit manuscrits, \u00e9crits par elle ou son fr\u00e8re James Hiltner. Est-ce que cette histoire aurait inspir\u00e9 la nouvelle de Stephen King \u00ab\u00a0Vue imprenable sur jardin secret<\/strong>\u00a0\u00bb ? <\/em>Peut-\u00eatre bien, quoique selon mes recherches la nouvelle de la poursuite a paru dans les journaux en avril 1991, date \u00e0 laquelle cette nouvelle \u00e9tait d\u00e9j\u00e0 publi\u00e9e.<\/p>\n
  Dans la pr\u00e9face de l’auteur, il pr\u00e9cise que l’id\u00e9e du titre lui est venue en d\u00e9pla\u00e7ant un meuble dans une pi\u00e8ce de sa propre maison. Cela lui aurait donner l’envie de remani\u00e9 une ancienne histoire tr\u00e8s semblable, \u00ab\u00a0La part des t\u00e9n\u00e8bres<\/em><\/strong>\u00ab\u00a0, \u00e9crite en 1989. Stephen King<\/a> se serait amus\u00e9 \u00e0 reprendre tous les points de cette histoire en les m\u00e9langeant \u00e0 sa guise, pour ainsi cr\u00e9er une nouvelle avec une fin compl\u00e8tement diff\u00e9rente. En bref, r\u00e9\u00e9crire cette nouvelle d’un point de vu totalement diff\u00e9rent. C’est assez bien r\u00e9ussi, mais la finale reste quand m\u00eame tr\u00e8s pr\u00e9visible.<\/p>\n
  Un petit r\u00e9sum\u00e9:<\/strong><\/p>\n
  L’histoire commence lorsque Mort Rainey, un \u00e9crivain c\u00e9l\u00e8bre, re\u00e7oit l’\u00e9trange visite d’un homme \u00e0 sa r\u00e9sidence secondaire. Cet homme se nomme John Shooter, il se pr\u00e9sente comme un \u00e9crivain et pr\u00e9tend que Rainey lui a vol\u00e9 son histoire. L’histoire de Shooter se nomme \u00ab\u00a0Vue imprenable sur jardin secret<\/em>\u00a0\u00bb et est une copie presque conforme de la nouvelle de Rainey \u00ab\u00a0Sowing Season<\/em>\u00ab\u00a0, qui fut un best-seller. Il lui demande compensation sinon il se vengera… Et il n’a pas l’intention d’amener Rainey devant les tribunaux, mais menace de lui faire tr\u00e8s mal. Aucun des deux hommes n’est pr\u00eat \u00e0 avouer qu’il ment ou qu’il a plagi\u00e9, d’ailleurs le plagiat semble \u00eatre l’une des phobies de Mort Rainey. Alors \u00e9videmment, il s’en suit une escalade de violence; le chat de Rainey est cruellement assassin\u00e9, sa maison est incendi\u00e9e… Le fameux John Shooter a bien l’intention de se venger.<\/p>\n
  Mon point de vue:<\/strong><\/p>\n
  Cette nouvelle se lit bien et vite. Honn\u00eatement, ayant d\u00e9j\u00e0 lu \u00ab\u00a0La part des t\u00e9n\u00e8bres<\/em>\u00a0\u00bb et ayant \u00e9galement vu le film, c’est certain que j’appr\u00e9hendais d\u00e9j\u00e0 la fin. La finale ne fut pas une grande surprise, mais elle fut quand m\u00eame assez distrayante. De plus, l’auteur rajoute un plot twist int\u00e9ressant dans son \u00e9pilogue, m\u00eame si ce dernier est quand m\u00eame un peu trop long pour rien. Malgr\u00e9 la fin pr\u00e9visible, \u00ab\u00a0Vue imprenable sur jardin secret<\/em>\u00a0\u00bb est un r\u00e9cit psychologique intense et int\u00e9ressant. On se met rapidement \u00e0 l’aise avec le personnage de Mort Rainey, cet \u00e9crivain d’envergure qui souffre de son divorce et qui est victime d’un homme d\u00e9s\u00e9quilibr\u00e9. Nous ressentons bien le stress v\u00e9cu par le personnage principal et ce tiraillement int\u00e9rieur qui le rend si vuln\u00e9rable.<\/p>\n
  Je disais un peu plus haut, dans ma critique sur la nouvelle \u00ab\u00a0Les Langoliers<\/em><\/a>\u00ab\u00a0, que Stephen King adorait mettre en sc\u00e8ne un \u00e9crivain dans la plupart de ses r\u00e9cits, dans celui-ci il se g\u00e2te autant qu’il peut en y ins\u00e9rant deux \u00e9crivains… \u00c7a ne change pas que les histoires du King sont toujours tr\u00e8s divertissantes, celle-ci ne fait pas exception.<\/p>\n
  On peut lire ce passage sur Wikip\u00e9dia, ce qui me fait bien rire car cela compl\u00e8te bien les commentaires pr\u00e9sent\u00e9 au sujet de \u00ab\u00a0Les Langoliers<\/em><\/a>\u00ab\u00a0:<\/p>\n
  <\/p>\n
  \n
  Le r\u00e9cit a \u00e9t\u00e9 consid\u00e9r\u00e9 par la critique de l’\u00e9poque comme le plus faible du recueil de quatre histoires dont il fait partie. Michael R. Collings \u00e9voque un r\u00e9cit \u00ab dans la lign\u00e9e des histoires qui analysent l’imagination de l’\u00e9crivain \u00bb, rappelant d’autres romans, notamment La Part des t\u00e9n\u00e8bres<\/strong><\/em>, par \u00ab son incursion dans le monde des maladies psychologiques et leurs diff\u00e9rentes phases \u00bb. Pour Stephen Spignesi, c’est l’un des \u00ab r\u00e9cits psychologiques les plus astucieux \u00bb de l’\u00e9crivain et le d\u00e9nouement fait partie de ses \u00ab plus satisfaisants et terrifiants \u00bb.<\/p>\n<\/blockquote>\n
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  Minuit 2, de Stephen KingUn livre int\u00e9ressant pour les gens appr\u00e9ciant les longues nouvelles. Ce ne sont probablement pas les meilleures histoires du King, mais elles sont bien distrayantes.La compr\u00e9hension\/complexit\u00e98.5Les personnages8.6Le genre et les th\u00e8mes8L\u2019intrigue, le suspense7.2L\u2019originalit\u00e9 du r\u00e9cit8.5Les points fortsL’originalit\u00e9 des nouvellesLes personnages attachantsLe style simple et fluideLes points faiblesDes d\u00e9nouements pr\u00e9visiblesL’horreur est absente2016-04-128.2Note […]<\/p>\n","protected":false},"author":1,"featured_media":583,"comment_status":"open","ping_status":"open","sticky":false,"template":"","format":"standard","meta":{"jetpack_post_was_ever_published":false,"_jetpack_newsletter_access":"","jetpack_publicize_message":"","jetpack_is_tweetstorm":false,"jetpack_publicize_feature_enabled":true,"jetpack_social_post_already_shared":false,"jetpack_social_options":{"image_generator_settings":{"template":"highway","enabled":false}}},"categories":[55,60,45,58],"tags":[52,51,53],"jetpack_publicize_connections":[],"jetpack_featured_media_url":"https:\/\/i0.wp.com\/www.horreurlitteraire.com\/wp-content\/uploads\/2016\/04\/stephen-king-minuit-2.jpg?fit=750%2C500","jetpack_sharing_enabled":true,"jetpack_shortlink":"https:\/\/wp.me\/p7taCd-9a","jetpack-related-posts":[{"id":664,"url":"http:\/\/www.horreurlitteraire.com\/stephen-king-minuit-4\/","url_meta":{"origin":568,"position":0},"title":"Minuit 4, de Stephen King","author":"David","date":"14 avril 2016","format":false,"excerpt":"\u00a0 C'est en 1990 que Stephen King publia un recueil de quatre novellas (des romans courts) nomm\u00e9 Four Past Midnight. 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