Un chat d’enfer<\/strong><\/h2>\nThe Cat from Hell<\/strong><\/em> fut publi\u00e9e pour la premi\u00e8re fois en 1977 dans le magazine Cavalier<\/strong><\/em>. La nouvelle est parue en fran\u00e7ais pour la premi\u00e8re fois en 1999 dans l’anthologie Contes du chat pervers<\/strong><\/em> sous le titre Le Chat venu de l’enfer<\/strong><\/em> puis en 2000 dans la revue T\u00e9n\u00e8bres<\/strong><\/em>. Elle fut \u00e9galement adapt\u00e9 au cin\u00e9ma dans le cadre du film \u00e0 sketches Darkside<\/strong><\/em>, les contes de la nuit noire<\/strong><\/em> (1990), r\u00e9alis\u00e9 par John Harrison, constituant l’une des trois histoires de ce film.<\/p>\nUn petit r\u00e9sum\u00e9:<\/strong><\/p>\nHalston est un tueur \u00e0 gages qui se voit offrir 12\u00a0000\u00a0$<\/span> pour tuer un chat par Drogan, un millionnaire septuag\u00e9naire. Ce dernier a fait fortune dans l’industrie pharmaceutique en brevetant un antalgique, plusieurs milliers de chats ayant \u00e9t\u00e9 tu\u00e9s lors de la phase de tests. Drogan explique \u00e0 Halston que le chat qu’il doit tuer est arriv\u00e9 chez lui il y a quelques mois et qu’il est responsable de la mort de sa s\u0153ur, de la meilleure amie de celle-ci, et enfin du chauffeur de Drogan lors d’une premi\u00e8re tentative pour \u00e9liminer le chat. Drogan pense que le chat a \u00e9t\u00e9 envoy\u00e9 pour le punir et qu’il est le prochain sur sa liste.<\/p>\nHalston accepte le contrat et emm\u00e8ne le chat dans sa voiture pour le tuer dans un endroit tranquille. Lors du trajet, le chat s’\u00e9chappe du sac dans lequel il \u00e9tait enferm\u00e9 et attaque Halston, qui a un accident de voiture. Temporairement paralys\u00e9, Halston est \u00e0 nouveau attaqu\u00e9 par le chat, qui finit par \u00e9touffer le tueur \u00e0 gages en s’enfon\u00e7ant dans son gosier. Will Reuss, un autre conducteur, arrive sur les lieux de l’accident et voit le chat s’extraire du ventre de Halston. Le chat s’en va ensuite pr\u00e9cipitamment, \u00ab\u00a0comme s’il avait un travail \u00e0 terminer\u00a0\u00bb<\/span> selon Reuss.<\/p>\nMon point de vue:<\/strong><\/p>\nBon, enfin une histoire fantastique et d\u00e9jant\u00e9e \u00e0 souhait! Exactement le type de r\u00e9cit que j’aime lire, que je recherche et qui me distrait. Du v\u00e9ritable bonbon, du tout d\u00e9but jusqu’\u00e0 la fin. Cette nouvelle vient comme un vent de fra\u00eecheur lors de la lecture de Juste avant le cr\u00e9puscule<\/strong><\/em>, parce que le genre utilis\u00e9 dans r\u00e9cits pr\u00e9c\u00e9dant (sauf N.<\/strong><\/em><\/a>) nous laisse un peu ti\u00e8de. \u00c9videmment, cette nouvelle fut \u00e9crite en 1977, alors elle nous rappelle l’\u00e9poque qui a fait la renomm\u00e9e du ma\u00eetre de l’horreur!<\/p>\n